On pourrait répondre à la normande : Oui et Non !
Oui, car elle n’entrave absolument pas d’autres traitements médicaux parfois incontournables. Au contraire, en renforçant le terrain, elle permet souvent une guérison ou une amélioration plus rapide ; en accélérant les processus métaboliques, elle accélère le processus d’élimination de substances médicamenteuses parfois toxiques.
Non, dans le cadre d’autres médecines dites douces, comme l’homéopathie par exemple. Non pas parce que ces deux médecines peuvent se nuire, mais parce qu’il est important pour un praticien d’observer les réactions ou les améliorations suscitées par son traitement. Dans un traitement mixte, le praticien est dans l’impossibilité de savoir si l’évolution des symptômes relève d’un traitement ou si elle s’insère normalement dans l’involution de la maladie, auquel cas il n’est pas forcément judicieux d’intervenir.